Bonjour,
Le
golf vous connaissez, mais les neurosciences, quezaco ?
Définition simplifiée de
Wikipédia : Les
neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point
de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire
jusqu'au niveau des organes, le cerveau, l'organisme tout entier.
Elles
touchent tout notre être, le golf est justement un savoir-faire mais pour moi
avant tout, un savoir-être.
Dans
la page précédente je disais que pour se développer le golf devait changer, en
voilà une clé….
J’ai
eu une éducation sportive qui a équilibré toute ma vie. J’ai découvert le golf
très tard à 40 ans. Ma passion de ce jeu et le goût de la performance m’ont
conduit à trouver des solutions pour y être compétent. J’ai mis 9 ans pour
devenir Handicap 4, 12 ans pour HCP 2,5. A bientôt 70 ans, hier à Miraflorès
Golf Club (des boules jaunes), j’ai joué encore 3 avec un groupe de gens de
« GOLF ENTRE DEUX MONDES ».
Mon
compagnon de partie, Index 30 a joué 18. Quel est le secret ? Jouer au
golf et ne pas chercher son swing à chaque coup.
Je
prétends qu’il ne faut pas le meilleur swing du monde pour être le plus
performant. Les neurosciences (et quelques apports de la physique quantique)
aident à comprendre qui nous sommes vraiment.
Les
neurosciences me permettent de vous parler pour toucher tous vos points
sensibles, consciemment ou inconsciemment. J’imprime vos neurones pour vous
faire jouer au golf comme vous ne l’avez jamais fait.
Par
exemple les neurosciences permettent de poser clairement vos objectifs. Sur
votre manière de jouer, sur la partie, sur un trou, sur un coup.
Les
neurosciences vous permettent de comprendre comment analyser une situation
donnée et de visualiser la manière de la transformer. L’intelligence
situationnelle de Pierre Villepreux trouve ses fondements dans vos capacités
neuronales, comme notre intelligence cognitive, relationnelle, émotionnelle…
Les
neurosciences vous permettraient aussi de vous entraîner seul par mimétisme, de
transformer votre swing. C’est mieux d’avoir un Pro pour discuter des
transformations à opérer mais si vous n’en trouvez pas un qui vous convient,
vous pourriez vous en passer. La connaissance de votre manière d’apprendre met
leur métier en danger s’ils tardent encore à s’adapter.
Les
vidéos, les films, permettent de former en soi des images (de toucher votre
enfant intérieur). Nous pouvons les compléter par tous nos sens pour les rendre
encore plus performantes. Notre cerveau est prêt à les accepter avant qu’elles
n’existent. Avec un peu d’imagination et en sortant de notre confort, en
faisant un effort, possible de créer sa réalité, sa réalisation plus que son
insuccès. Question de choix. On est comme l’on pense !
Pour
atteindre mon niveau de jeu en compétition, mon programme d’entraînement dans
la semaine alors que j’étais directeur d’usine et que je n’avais pas le temps,
s’est résumé à une séance de practice de 1h30 le samedi et un parcours de
compétition le dimanche. En semaine 3 à 5 minutes de mouvement très, très lent
(genre 45 secondes) pour développer un swing complet avec un shaft de club sans
tête en mains (ancrage psychologique oblige).
Pour
une expérience avec mon mentor Michaël Wolseley, il y a 4 ans à Montecito la
maudite(Californie), j’ai décidé (avec mon amie) de transformer tout notre
swing pour jouer avec moins d’effort. Pour les rénover, 3 heures de cours avec
vidéo intense (tablette) pour la vérité du geste (feedback essentiel) et 40
heures de travail personnel au practice. Pas une torture, un plaisir partagé,
engagé, révélateur.
Avec
ce que j’ai appris depuis, je pense que je pourrais gagner une heure de cours
et la moitié du temps au practice. Pourquoi ? Je poserai les questions
autrement. Je n’utiliserai pas le practice de la même façon. Je passerai plus
de temps en mouvement lent pour ancrer mon swing.
Des
malades ont fait cela pour se rééduquer, des sportifs de haut niveau utilisent
leur cerveau pour agir plus vite et plus sûrement : sports de combat,
athlétisme, tir, sports collectifs…Nous employons les neurosciences aussi dans
nos travaux quotidiens, pour cuisiner, bricoler…, vivre, téléphoner, regarder
la télé.
Les
neurosciences nous permettent de découvrir nos talents, en particulier de
leurrer notre cerveau. Puisque nous sommes persuadés que nous sommes nuls (nous
l’affirmons si souvent) pourquoi ne pas changer ? Vous croyez cela
impossible ? Ce n’est pas français.
A
défaut de changer vous pourriez décider de vous reprogrammer. Vous voir beau,
svelte, performant, créatif, inspirant…comme il vous plaira, nous sommes tous
différents. Les neurosciences vous parlent de visualisation. Vous en doutez,
vous ne savez pas faire ? Faites vos exercices, vos répétitions avec les
yeux fermés, mobilisez toutes vos ressources pour réussir, je vous le dis ça
vaut le coup. Les gens qui font cela avec moi en sont estomaqués. Restons
modeste, je n’ai rien inventé. Si moi et ma personnalité, je voulais une belle
vie, je l’ai.
Pour
être compétent il faut automatiser vos gestes, les neurosciences vous y aident
consciemment et inconsciemment.
Pour
être plus complet, le joueur de golf ne peut faire appel qu’à son swing. Il en
a besoin d’un de plus en plus précis en fonction de ses exigences personnelles.
C’est à lui a s’engager, à demander à l’améliorer et pas l’inverse. A lui de se
découvrir le talent de bien jouer. C’est sa responsabilité. Les neurosciences
vont lui permettre de découvrir sa véritable identité.
L’enseignant
est avant tout un vendeur. Un vendeur d’effort, un offreur de service, pas ni
senseur, ni juge. Il a des choses à apprendre sur la pédagogie mais surtout la
psychologie, maîtriser ses émotions, tous les golfeurs ne sont pas faits de la
même façon.
S’il
n’est pas content, pas patient, distrait ou mal dans sa peau son client le sent
et inversement. Le couple enseignant-enseigné peut alors ne pas être
performant. Comment communiquer ? Les neurosciences vous donnent encore
quelques idées. La physique quantique peut aussi vous assister.
Vous
êtes et je suis une énergie. La mobiliser pour être performant est encore un
autre sujet. J’ai expérimenté. J’avais peur sur un putt à 40 cm, c’est réglé, la
neuropsychologie m’a aidé. Il faut parfois aller chercher très loin en soi pour
devenir performant, mais c’est passionnant.
On
pourrait encore développer avec la neurobiologie. Nous émotions créent notre
physiologie. Votre colère génère des poisons difficiles à digérer. A haute dose
le cortisol trouble votre santé, vous met en danger. La dopamine vous illumine,
vous donne un plus de gaieté, c’est elle qu’il faut privilégier...
« Golf
entre deux mondes » s’est donné pour mission de vous faire toucher du
doigt tout cet arsenal (sans produit dopant autre qu’un bon vin de temps en
temps) en prenant du plaisir à jouer au golf plus que correctement. Jeu superbe et interactif.
Ludique et « challenging », structurant pour les enfants et pour les
plus grands. Inspirant pour nous indiquer une vérité : savoir qui nous sommes vraiment pour jouer du mieux que l’on sait. Avec régularité.
Un
champion (nous-même) est toujours particulier. Nous ne marchons pas sur les mêmes
sentiers, Woods a travaillé par exemple avec Butch Harmon mais aussi (plus
important) avec Sylvain Guimond (en conférence à Paris début mars) . Plein de champions connaissent ce grand
bonhomme et sa dame Johanne Levesque. Ils ne soignent pas les maux avec des
médicaments mais les neurosciences pour le bien de tous leurs patients.
Si
vous voulez vous informer plus savamment écoutez les conférences de David
Lefrançois, François Lemay ou Martin Latulippe (Ancien capitaine de l’équipe du
Canada de hockey), ils touchent tous ces sujets.
Merci
a eux de m’avoir initié. Ils ont toute ma gratitude pour la conscience du jeu
qu’ils m’ont donnée.
Michel Prieu
https://youtu.be/QK2Xx8tOuMs
legolfaucoeur.blogspot.com
« Golf entre
deux mondes ». Riviera del sol
Réservations : michel3c@gmail.com ou
+33656891132
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